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Suivez le Paris JUG anniversaire en live !

Le prochain Paris JUG, qui célèbre son deuxième anniversaire, s'annonce "epic".
Malheureusement, tout le monde ne pourra pas y assister, car les places sont limitées, et certains d'entre vous habitent ces contrées mystérieuses et exotiques qui, paraît-il, existent au-delà du Périphérique.

Heureusement, votre reporter favori a pensé à tout : afin que vous puissiez suivre l'événement en temps réel et même poser des questions aux intervenants, je décrirai le déroulement de la soirée et des conférences dans la Google Wave intégrée ci-dessous !

L'expérience s'est avérée positive pour le dernier JUG (soirée Performances avec Kirk Pepperdine), même si elle était restée relativement confidentielle sur le moment. Je vous encourage d'ailleurs à aller lire cette Wave et à me faire des remarques en termes de format et de contenu, afin que la prochaine réponde au mieux à vos attentes.

Je compte sur vous pour vous connecter mardi 09 février à partir de 19h15 sur cette Wave (sur ce billet, ou depuis votre compte Wave en ligne) et mettre le feu à ce Paris JUG anniversaire et interactif !

Note : pour les lecteurs ne possédant pas de compte Wave, une retranscription textuelle de la conférence est disponible en bas de ce billet.

Paris JUG anniversaire : le compte-rendu live !

L'annonce du paris jug anniversaire a provoqué pas mal de remous aujourd'hui sur twitter, et beaucoup ont lancé de fausses rumeurs assez marrantes. Nicolas Martignole a monté tous ces twits sous la forme d'une vidéo qui a eu du succès en introduction du JUG. Suivez @parisjug pour les lire !

Ensuite, le sondage lancé récemment sur les avis des juggers a été dépouillé. La question concernant l'utilité du buffet montre que beaucoup de développeurs célibataires aimeraient y faire des rencontres, mais comme même aujourd'hui il y a très peu de filles dans la salle... C'est pas gagné :)

Suit une petite vidéo récapitulative du, que dis-je DES Jugs qui apparaissent partout en France !

Le Paris JUG c'est déjà 14 soirées avec des invités prestigieux, des sujets parfois très techniques et un buffet de folie ! (hum :p)

Bien sûr la vidéo se termine sur l'enterrement de Java suite au rachat de Sun par Oracle...

Le Paris JUG en quelques mots :

  • Création en février 2008
  • Association 1901
  • Réunion mensuelle
  • L'équipe : Antonio, David, Zouheir, mais aussi Nicolas, José, Tanguy et Charles.
  • Le site web qui a attiré 17000+ visiteurs cette année
  • Un groupe Linked
  • Un blog
  • Le twitter @parisjug
  • 2 mailing lists pour communiquer, troller, apprendre à se désabonner (:p)... avec 1200+ membres pour les annonces et 275 pour la liste des utilisateurs.
  • Des vidéos sur Parleys, car les séances sont filmées

Et évidemment votre rapporteur favori, The Coder's Breakfast !

Keynote par Sacha Labourey

La présentation de Sacha commence par les mots de Marc Fleury : "We are free and we don't suck !"

Sacha a commencé chez JBoss en 2001, puis a monté jusqu'à être CTO de JBOSS en 2005. JBoss a ensuite été racheté par REdHat, que Sacha a quitté depuis.

Internet s'est construit sur des briques opensource comme IP, DNS, SMTP, LAMP... (et une pique vers Microsoft au passage). Mais internet a aussi bénéficié au monde opensource car il permet la communication entre les développeurs.

L'opensource a révolutionné le développement logiciel en entreprise : revues de code, méthodes agiles, repositories de code, documentation sur wiki... Et est devenu un facteur de compétitivité, car il évite de réinventer la roue sur chaque projet.

L'avènement de l'opensource a aussi amené une prise de conscience sur les licences, même si certaines font encore peur (GPL...). Les développeurs opensource font attention à la licence qu'ils utilisent pour leurs projets, et font donc davantage attention aux licences des outils qu'ils utilisent.

L'opensource a fait émerger aussi une culture de la méritocratie, et a permis de rassembler des développeurs compétents partout dans le monde. La connaissance a également été libérée des laboratoires, et a été largement diffusée. A une époque, il fallait travailler dans la Silicon Valley pour avoir accès aux dernières technologies.

Enfin, l'opensource a permis le développement de solutions à grande échelle (cloud computing...), car le coût des licences propriétaires aurait été prohibitif.

Aujourd'hui, on passe progressivement des approches code-centric aux approches data-centric : la localisation des données est transparente et on peut désormais consommer de la donnée (musique, films, livres...) depuis n'importe où.

Le business opensource est très faible : 30M pour le logiciel libre. Cela contredit l'idée reçue selon laquelle le logiciel libre tuerait le logiciel propriétaire à terme. En réalité, la valeur ajoutée de l'opensource est ailleurs : les coûts dégagés par la non-réinvention de la roue ont pu être réalloués ailleurs par les entreprises. C'est ce qui trompe les analystes.

Parmi les vendeurs d'opensource, seul RedHat tire son épingle du jeu. C'est très difficile de "marketer" des composants perçus comme gratuits, et la question des licences demeure importante. Chez RedHat, chaque produit est décomposé jusqu'au niveau du fichier et versionné, puis "buildé" automatiquement. Cette traçabilité est nécessaire pour se prémunir contre des attaques légales sur des points de licences.

Mais l'opensource n'a pas forcément colonisé les marchés prévus : par exemple, l'arrivée de Linux n'a pas tellement porté préjudice à Windows, mais a coulé les Unix...

En prenant du recul, on voit que les changements sont pourtant lents. Les vieux mainframes subsistent, le web fonctionne toujours comme avant...

Alors, que peut faire l'opensource pour moi ?

  • Je suis développeur salarié ou étudiant :: je peux trouver un domaine qui m'intéresse et m'impliquer, pour augmenter mes compétences et ma visibilité. De plus, le feedback brutal des pairs ("what you're doing makes no f**ing sense !") permet de rester humble et de se forger une armure pour la suite. L'opensource devrait être obligatoire dans les écoles !
  • Je suis indépendant : l'opensource permet de gagner en crédibilité sur certains sujets/frameworks. Il faut se faire un nom sur des projets visibles (ex: Tomcat plutôt que Log4J...). Par contre, attention, il faut bien faire la différence entre consulting et support ! Par exemple, Sacha avait fait du consulting pour une banque suisse, et leur a vendu 50h de support... sans limite de temps ni de plages horaires !
  • Je suis entrepreneur : Business plans en 2000 : 1. mettre sur SourceForge, 2. ? (on verra plus tard), 3. Profit ! Mais en 2010, c'est difficile de vendre de l'opensource. Mais pas impossible ! Il faut bien réfléchir aux façons de monétiser notre travail : OEMs, vente des outils de développement autour de la solution, vente des plugins autour du core, etc.
  • Et si mon business n'a rien à voir avec l'opensource, je peux toujours utiliser des produits opensource pour gagner en productivité et en compétitivité. Eviter le syndrôme "NIH" (Not Invented Here) !

En conclusion, l'écosystème opensource est robuste car il n'est pas attaché aux personnes, et il est distribué par nature, géographiquement et humainement. C'est une des rares expression communautaire qui a un succès commercial malgré tout.

Interlude : mais qui est l'invité mystère ?

Encore une petite vidéo avec les twitts qui ont fusé aujourd'hui, à propos de l'animation mystère...

Et l'invité mystère est... Marc Fleury, fondateur de JBoss.

Apparemment il a lancé JBoss "rien que pour faire chier Weblogic" qui lui avait refusé un contrat ! Mythe ou réalité ?

Une question dans la salle : on entend parler de business, mais quid de la passion ? Effectivement pour se lancer dans un produit opensource il faut pas mal de passion, mais sans perdre de vue le but commercial. Et il faut surtout être bon, car un mauvais produit gratuit est avant tout mauvais.

Autre question : un commentaire sur le rachat de SpringSource par VMWare ? C'est un exemple de réussite pour un bon produit opensource.

Autre question sur les modèles de licences : RedHat/JBoss n'a pas de modèle de licences duales, mais reste en pur GPL. Dans ces conditions, comment RedHat fait-il pour s'en sortir ? La licence double avait été tentée sur Arjuna, mais le code étant libre, il est possible de le forker...

Dernière question : pourquoi certaines sociétés mettent-elles certains projets internes en opensource ? Cela peut amener un coup marketing, fédérer une communauté... Mais c'est plus simple pour IBM que pour un petit éditeur. Par contre il existe certaines sociétés qui périclitaient sous licence propriétaire, mais qui ont un jour par dépit mis leur projet en opensource et ont réussi ensuite grâce à tous les téléchargements et retours des utilisateurs.

Quickies : un tour d'horizon de l'opensource en France

Quickie 1 : Comment OBEO est devenu partenaire Eclipse

Présentateur : Etienne Juliot, fondateur d'OBEO et membre du board EClipse.

Les débuts d'Obeo : utilisation de l'opensource dès le début, avec un business model "service" puis "produits".

La partie génération de code est opensource, mais la partie migration de code (propriétaire -> opensource) est propriétaire.

Leur produit Acceleo est un générateur de code avec une intégration Eclipse. L'enjeu est de pouvoir garder la traçabilité entre le modèle et le code.

Démonstration du produit : l'éditeur graphique permet de définir le modèle de données, les enchaînements d'écrans, etc... Puis le générateur de code applique des templates techniques pour produire des EJBs, des beans Spring... Il est possible de créer ses propres templates de génération grâce à un DSL opensource. Il est également possible de créer ses propres widgets graphiques de modélisation.

Puis le produit a été ouvert à ObjectWeb (OW2), à des pôles de compétitivité et à des chercheurs, afin d'éviter que le produit soit vu comme "propriétaire OBEO". Lors d'une conférence Eclipse, ils se sont rapprochés de la communauté pour développer le plugin "EMF Compare" qui les a fait connaître.

Faire partie de la fondation Eclipse offre des avantages en termes d'infrastructures et de process. Et en termes de marketing aussi, évidemment : Marketplace, Eclipse training, "standard de fait"...

Quickie 2 : jCaptcha

Présenté par Marc-Antoine Garrigue

Marc-Antoine a eu le déclic lorsqu'il s'est fait battre sur ordinateur par une IA au jeu Shifumi (pierre-papier-ciseaux).

Après ses études, il rentre chez Octo Technologies et rencontre Vincent Massol, qui travaillait sur Cactus. Il apprend alors les rudiments des projets opensource : gestion de la communauté, utilisation des outils de build/publication...

Lors d'une mission, un client demande que ses formulaires soient résistants aux attaques automatisées de robots (référence à Blade Runner à l'écran - jeu inside : qui connaît le titre original de cette oeuvre ? :) Malheureusement Octo perd l'appel d'offre sur ce projet, mais le sujet intéresse Marc-Antoine.

Le point intéressant dans les captcha est de trouver ce qui différencie l'homme de la machine, afin de les différencier. Le point noir par contre, c'est que les Captcha sont généralement peu accessibles pour les personnes handicapées à cause des images, de javascript, etc.

Note : quelqu'un chez Octo a lancé un projet CaptChat, qui tente de différencier homme et machine par le biais d'un système de chat.

Le fait de travailler sur un projet opensource est un excellent moyen de se faire connaître de la communauté, surtout si on travaille sur un projet possédant peu de contributeurs. Cela lui a permis de rencontrer les leaders d'autres projets plus importants (photo à l'écran de Marc-Antoine avec Didier Girard, Guillaume Laforge...).

Se lancer dans un projet opensource c'est aussi un excellent moyen de déclencher un changement dans sa vie.

Marc-Antoine blague aussi sur le fait qu'en interne d'un projet, les prises de décisions sont parfois aussi assez molles : le syndrôme du mail "+1" est toujours d'actualité :)

Quickie 3 :Développons en Java

Présentateur : Jean-Michel Doudoux, architecte Sfeir Benelux

Ce quickie parle de sa contribution documentaire à la communauté Java. Une présentation non technique, donc.

Deux didacticiels (qui sont devenus des livres)

  • développons en Java
  • développons en Java avec EClipse

Pourquoi Java ? A cause de ses fonctionnalités avancées par rapport à l'écosystème de l'époque (cobol, C++...).

Le tutoriel a commencé sous la forme de notes personnelles, publiées par la suite sous la forme d'articles, qui au fil du temps ont largement grossi (12 parties, 87 chapitres, 1900 pages, 14 Mo de texte !!!), le tout sous licence opensource (GNU FDL), car Jean-Michel est lucide quant à sa capacité à protéger son oeuvre une fois celle-ci diffusée sur internet. Il a été contacté par différents éditeurs, mais il estime que cela apporte trop de contraintes et la rémunération est de toute façon très faible.

Jean-Michel fait ce travail de titan car cela le force à effectuer beaucoup de veille technologique, et cela apporte à la communauté une information récente et en français. Le temps consacré est difficile à estimer, mais cela représente une à plusieurs heures par jour, depuis dix ans... Et comme la matière est inépuisable, il a encore du travail !

Ce travail lui apporte aussi beaucoup de contacts, notamment les JUGs.

Le futur : la rédaction de Développons en Java continue ! Mais la base de connaissances commence à être difficile à maintenir : des chapitres devraient être réécrits ou complétés, il manque des chapitres sur certains nouveaux aspects du langage ou des APIs...

En cours de rédaction : Java EE 6, Bean validation, EJB 3.1, Android...

Jean-Michel remercie sa famille pour le temps qu'elle lui accorde, son employeur pour la même raison, à ses lecteurs et contributeurs, et au Paris JUG.

Quickie 4 : XWiki.org vs XWiki.com

Présenté par Vincent Massol

Vincent MAssol a développé 10 ans en tant que bénévole opensource sur Cargo, Cactus, Maven... Il a créé OSSGTP et a écrit plusieurs livres.

XWiki.org vs XWiki.com, ou comment monétiser un projet open-source.

XWiki.org est un wiki d'entreprise, qui sert également de plateforme de développement web à part entière. Environ 400'000 téléchargements par an.

De l'autre côté, XWiki SAS est l'entité commerciale, une société dont le Business Model est basé sur le support, le consulting, la formation... sur le code qui reste licencié sous LGPL.

Le projet XWiki est en LGPL et piloté par la communauté (méritocratie) : tous les membres de la communauté ont les mêmes pouvoirs, qu'ils appartiennent à XWiki SAS ou non. Cela permet à la société d'être présente à l'international sans coût additionnel, et garantit la pérennité du projet.

Comment faire la part entre la partie communautaire et la partie commerciale ? Tout est précisément décrit dans différents manifestes ou chartes de développement.

Tous les committers (même externes) ont le même droit de veto sur les votes, et les employés de XWiki SAS ont tous été cooptés par la communauté, par la qualité de leur contribution.

Vincent évoque la difficulté pour une société d'accepter des contributions externes de qualité, en résistant à la tentation de les embaucher car il faut garder un point de vue externe sur le projet.

Le futur de XWiki : le site grand public affichera bientôt des pubs vers la société commerciale, afin d'attirer les utilisateurs ; mais toute société contribuant au projet pourra également afficher des pubs sur le site. De plus, le système de "bounties" (récompenses) sera renforcé. Enfin, Vincent réfléchit à produire des distributions spéciales de XWiki (à la Eclipse), clé en main, spécialisées dans les principaux use-cases.

Quickie 5 : eXo Platform

Présenté par Tugdual Grall

EXo Platform a été créé en 2002, et la société en 2003 (115 employés dans 5 pays actuellement, dont Benjamin Mestrallet, Dimitri Baeli, Arnaud Héritier, Julien Viet...Et ils recrutent, lors n'hésitez pas !).

Exo Platform est un portail opensource basé sur les standards (portlets, JCR, OpenSocial...). C'est une solution intégrée qui facilite le travail collaboratif.

Récemment, Exo a fusionné avec JBoss Portal pour devenir GateIn. L'idée de GateIn est de mettre en relation les deux communautés, et leurs forces de développement. Le choix de la licence Affero GPL / LGPL a été important, pour faciliter la distribution de la plateforme.

Techniquement, GateIn intègre plein de solutions tierces au lieu de réinventer la roue : c'est une plateforme ouverte. On peut par exemple utiliser des briques d'Exo sur GateIn, et la plupart des briques venant de chez JBoss. Encore plus fort, GateIn propose son propre environnement de développement en ligne, directement dans GateIn, qui permet de créer facilement de nouvelles briques (par exemple pour intégrer une application existante dans l'entreprise. Le langage retenu pour cela est Groovy.

L'intégration avec les applications d'entreprise peut se faire de plusieurs façons : grâce à des portlets ou au portlet bridge, par le biais de services REST ou de gadgets OpenSocial, ou par le déploiement d'applications clés en main.

Quickie 6 : Play! Framework

Présenté par Guillaume Bort et Nicolas Leroux

Play! c'est un framework "par des développeurs, pour des développeurs".
Il vise surtout à libérer les développeurs des chaînes de Struts, JSF...

C'est un framework productif : il suffit de sauver un fichier et de rafraîchir la page pour voir la modification.

Le framework est complètement stateless : pourquoi gérer l'état côté serveur puisque le client peut le faire (cf. GWT) ? Un framework stateless scale plus facilement et est plus facile à utiliser et maintenir.

Démonstration à l'écran...

Création d'un projet-type en quelques secondes grâce à un archetype. On peut ensuite éditer les pages directement avec TextMate (équivalent de GEdit ou Notepad++) - même les classes Java !!! Le binding java / template html est fait par une méthode render().

A la moindre erreur, une page très lisible est affichée, qui présente le code incriminé avec les numéros de lignes et même un peu de coloration syntaxique.

Toute la configuration de play! est faite dans un unique fichier nommé application.conf, et le fichier "routes" maintient le lien entre les URLs et les contrôleurs.

Une URL spéciale @test affiche une page permettant de lancer les tests unitaires présents dans les contrôleurs.

Personnellement je trouve la démo assez impressionnante - et pourtant je suis habitué à la productivité de Wicket (je n'ai pas testé Grails). Je ne sais pas comment se comporte le framework en production, mais pour du prototypage en tout cas, ça semble assez fulgurant. A surveiller donc !

Quickie 7 : jax-doclets

Présenté par Stéphane Epardaud, co-créateur du Riviera JUG, committer sur RestEasy et auteur de jax-doclets.

Jax-Doclets est une extension de Javadoc pour quelques APIs supplémentaires de Java comme JAX-RS ou JAXB.

Exemple : un service JAX-RS permet de commander des pizzas est présenté à l'écran. Si on lance le doclet de documentation JAX-RS sur ce code, on obtient des renseignements supplémentaires dans sa javadoc : les services déclarés avec leur path, les types MIME produits ou consommés...

Le futur : XML Schema pour JAXB, support de JPA, Bean validation, Hibernate Search...

La version 0.7 sort bientôt.

Conclusion

Un bien bel anniversaire pour le Paris JUG, avec des invités de marque et des séances intéressantes sur l'univers excitant mais pas toujours rose de l'opensource en France!

Sur ce, le Paris JUG a dépassé l'horaire imparti, on va devoir partir en courant !


Commentaires

1. Le vendredi 5 février 2010, 14:44 par Mathilde

Bonne initiative !

2. Le mardi 9 février 2010, 21:26 par Loic

Super idée cette wave intégrée dans le blog!

3. Le mercredi 10 février 2010, 14:01 par Nicolas Martignole

Merci pour ton boulot Olivier, c'était une très bonne idée, à refaire lorsque c'est possible.
A bientôt

Nicolas
Blog le Touilleur Express

4. Le mercredi 10 février 2010, 21:57 par Arnault

Super idée, enfin une application concrète des Waves !

Merci !

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